J'ai parfois l'impression d'être comme un miroir, ne prenant que ce que l'autre tente de caché et de le lui renvoyé.
J'ai relativement difficile avec cela dans le sens ou je ne le contrôle pas. Je ne me rend compte qu'après coup que cela s'est produit quand j'en viens à me dire: mais ce n'est pas moi, je ne suis pas comme ça.
Si encore je me contentais d'entendre un flot de pensée, cela ne me gênerais pas vraiment. C'est vrai que entendre mentalement une personne râler c'est pas vraiment agréable, mais cela ne m'appartiens pas, je me sens spectateur face à cela.
Là ou ça deviens un peut plus ennuyeux c'est que de plus en plus souvent (ce n'est pas systématique) j'ai l'impression d'éprouvé l'état d'esprit de l'autre.Par exemple, je lis quelque chose et je ressent physiquement l'état d'esprit de la personne, elle est contente, je vais sourire; elle est mal, j'airais comme une boule au niveau de la gorge; ect...
Même si ça peut être parfois un peut ennuyeux, c'est pas ingérable et invivable.
Par contre, reproduire l'état d'esprit de l'autre (c'est comme si je suis lui un moment) c'est pas vraiment évident à vivre, mais là, j'ai l'impression de ne reproduire que ce que l'autre refoule et rejette. J'arrive pas le contrôler car je ne m'en rend pas comte sur le moment.
Je commence à redouté de la manière dont cela va évoluer; amplification, autre aspect encore plus compliqué à gérer.
J'en viens parfois à me demandé si vivre en hermite ne serait pas une solution, mais cet interrogation ne dure pas puisque vivre en hermite serait la solution de facilité...une manière d'évité le problème en quelque sorte.
Par le passé j'ai eu des périodes ou je voyais la partie sombre des gens, savoir à l’avance leurs intentions. Mon affect était à l'époque comme inexistant ou très limité et pendant des années j'ai été obligé de jouer la comédie et en faisant semblant d'éprouvé tel ou tel émotion. Donc l'empathie pour moi à toujours été proche du 0.
Je n'ais pas envie de subir ce genre de perception, mais à l'heure actuelle j'en suis au constat de celle ci. Je me rend compte que cela pourrais réellement me pourrir la vie si je ne trouve pas une manière de gérer la chose. Le problème pourrait être la durée ou l'intensité de la perception. Une des craintes que j'ai c'est simplement de me laisser submergé et d'aller beaucoup trop loin et de blessé ce qui me fait fasse sans que cela ne soit voulu.
Cette impression d'être parfois comme une sorte d'éponge, ainsi que cette envie de vivre en hermite m'a progressivement conduit à considéré les pensée des autres comme étant quelque chose de parasite.
Considéré les pensée des autres comme étant parasite me permet de ne pas les confondre avec les miennes. C'est un peut comme à l'école primaire quand on a son nom sur ses crayons et que tout les enfants de la classe ont les même crayon avec leur nom aussi écrit dessus. Je ne vois pas cela de manière négative, simplement faire cette distinction et mettre une barrière m’empêche de me faire submergé et de me perdre dans le flot, j'ai pas envie de mettre une masse considérable d'énergie là dedans, donc je préfère prendre des mesures préventive.
Maintenant je ne rejette pas ce qui ne m'appartiens pas, ça ne me pose problème que quand l'autre est relativement négatif et mal intentionné. Sinon j'essaye de faire avec en tentent d'être plus délicate pour ne pas blessé l'autre.
Ce besoin d'isolement c'est en effet un besoins de me couper de certaine chose mais en même temps un besoins de faire le point par moment. D'assimilé et de digéré ce trop pleins d'info que j'ai parfois.
J'ai eu droit à plusieurs reprise à des leçons due à des choses relativement ancienne qui n'ont pas été réglé à l'époque. le problème à souvent été des erreurs répétés causé souvent par un déclencheur commun (la peur et le rejet de la solitude qui chaque fois à été perçu comme un abandon et un rejet qui ne faisait que pollué l'esprit jusqu'à la folie et parfois la mort. qui était souvent causée par la matérialisation des peurs qui causait chaque fois une perte de repère, un déracinement et l'issue était toujours une rage, colère et haine que rien ne pouvait calmé. J'ai eu à travaillé cela il y a quelque année, j'en ai beaucoup souffert à l'époque. Je ne sais si c'est constitutionnel ou pas mais cela me suis au fil de mes incarnations.
La seul manière de ne pas retombé à nouveau était de comprendre et de tenté par tout les moyens de trouvé une manière de composé avec cette problématique pour que cela ne me ronge pas jusqu'à la moelle comme cela m'est arrivé mainte et mainte fois. Je ne sais pas si j'en ais totalement fait le tour, cependant la solitude n'est plus une hantise mais une douce compagne. Maintenant, ce n'est pas parce que l'on m'a forcé à coup de pied dans le derrière à travaillé ça que j'ai pas d'autre chose à aborder. Pour l'instant, c'est la manière de percevoir les choses qui évolue. Cette modification de mes perceptions plus ce que j'ai décrit ici dans ce poste est relativement imposant et d'une certaine manière ça me fait peur. Ne pas arrivé à gérer, ne pas réussir à garder le contrôle et me faire manger toute crue par mes perceptions n'est pas quelque chose qui m'enchante vraiment. Donc j'essaye de prendre les devants et envisagé diverses options dans le seul but de pouvoir avancé sereinement.